Norvège (1) : le grand nord 🤩🤩❤️❤️
Nous sommes arrivés en Norvège par le nord, en provenance de la Finlande. (Voir notre article sur la Finlande).
⚠️ La Norvège ne fait pas partie de l’union européenne et sa monnaie n’est donc pas l’euro, mais la couronne norvégienne (1 couronne norvégienne (Nok) = 0,086 euros, les conversions sont très difficiles quand on fait ses courses !!🙃)


❓️❓️Mais ça alors! 😲Mais pourquoi la Norvège ne fait-elle pas partie de l’union Européenne??🤔
La procédure d’adhésion de la Norvège à l’Union européenne est une des trois procédures (avec celles de la Suisse et de l’Islande) qui n’ont pas abouti. Par deux fois, en 1972 et 1994, le peuple norvégien a refusé par referendum à l’adhésion du pays à l’Union européenne
⛔️La victoire du « non » s’est expliqué notamment en raison de craintes à propos des quotas de pêche imposés par Bruxelles. Il y a eut des grosses différences entre les régions, mais certaines régions du Nord du pays (où la pêche est un gros moteur de l’économie) ont affiché plus de 70 % de non.
💰💰 Il faut savoir que le coût de la vie en Norvège est bien plus élevé qu’en France, 20 % de plus !! Mais le salaire moyen est de 50 000 euros, donc ceci explique cela. En plus, beaucoup de nourriture est importée, et par conséquent est chère, car seulement 4% du territoire est adapté à l’agriculture, avec encore en plus la longue période d’hiver pendant laquelle rien ne pousse.
⚠️ Routes payantes, et ⚠️aussi ponts, tunnels et bateaux inter-iles !!
Par contre il n’y a aucun péage, tout est automatisé. Il faut donc le savoir.
Avant d’entrer dans le pays, il faut s’enregistrer sur le site de AUTOPASS en y inscrivant son véhicule (ainsi que sa carte bleue). Après tout se fait automatiquement car il y a des caméras qui scannent les plaques à l’entrée et à la sortie de chaque portion de route ou pont ou tunnel payants, même pour les ferrys (pas besoin de réserver avant, sauf pour avoir de la place.
Si vous ne l’avez pas fait, votre plaque sera scannée tout pareil, et vous recevrez sous 2 à 3 mois (pour les français) les différentes factures à domicile, mais avec une majoration pour frais de dossier. Ne rêvez pas sur le fait qu’ils auront du mal à vous retrouver, nous avons lu un témoignage racontant qu’ils ont reçu un an et demi après (car après un déménagement et une vente de leur véhicule) leurs factures norvégiennes !! Et oui, il existe un partage européen des informations sur les plaques d’immatriculation.
Pour les bateaux, si vous n’êtes pas enregistrés sur Autopass, vous devrez payer à bord. Un homme scanne toutes les plaques et si vous n’êtes pas sur Autopass il vous fait payer (sans majoration).
Ci-dessous l’itinéraire que nous avons suivi dans le Nord de la Norvège ainsi que les principales étapes.



Le Nordland
Comme son nom l’indique, c’est la région du grand nord, par laquelle nous sommes arrivés. C’est la région qui se rétrécit en direction de l’Arctique❄️. On s’y rend en empruntant deux des routes les plus remarquables d’Europe du nord, dont la route de l’Arctique plus à l’est qui trace un chemin à travers le cercle polaire et remonte vers le cap nord, et l’autre plus à l’ouest que nous avons emprunté après pour redescendre et qui longe la côte en serpentant le long du littoral en dévoilant des paysages magnifiques sur la mer.🌊☃️
Dans l’ordre, en arrivant de la Finlande, nous sommes montés tout en haut du pays, au cap nord, point le plus septentrional de l’Europe, puis nous sommes redescendu petit à petit en longeant la côte.
Karajok
C’est la première ville que nous avons traversé en venant de la Finlande. C’est la capitale Sami en Norvège. Nous vous avons déjà parlé de ce peuple dans notre article sur la Finlande. C’est un peuple qui vit dans les régions du grand nord depuis la nuit des temps, et qui revendique sa culture traditionnelle.
Le parlement Sami siège à Karajok, dans un bâtiment ouvert à tous qui héberge entre autres une bibliothèque, éclairée de petites ampoules semblables à des étoiles. On y trouve aussi des objets historiques, dont la signature du roi norvégien Olaf sur une peau de renne datant de la première séance du parlement Sami en 1989. Cela marquait la reconnaissance du peuple Sami et ses droits à maintenir ses traditions et sa culture. Le parlement norvégien a en effet établi que la langue et la culture Sami devaient recevoir des traitements égaux à ceux accordés à la langue et la culture norvégiennes, car la minorité ethnique Sami est considérée comme une composante propre de l’état norvégien, ne relevant pas d’une immigration récente.

A Karajok se trouve également un musée, type écomusée, présentant la culture sami, et ses traditions. Il retrace l’évolution des modes de vie de ce peuple, en présentant en extérieur les habitats traditionnels. C’est un peuple dont les traditions tournent essentiellement autour de l’élevage de rennes, qu’ils élèvent pour leur alimentation, leur peau, et l’artisanat.
📍Bonne astuce !!📍 Une boutique jouxtant le musée Sami vend des produits artisanaux, et également des vêtements norvégiens (pas uniquement samis), avec le gros avantage de pouvoir être détaxés. En effet, la Norvège ne faisant pas partie de l’UE, certains magasins signifiés par le logo « blue shop » ou « Free taxe » peuvent nous rembourser l’équivalent de leur TVA le jour où on sort du pays, sur présentation des tickets de caisse, dans des boutiques similaires à proximité de la frontière. La « tva » norvégienne étant à 25%, cela vaut vraiment le coup !!
Sur la route du cap Nord
Le cap Nord est le point le plus au nord du continent européen. Pour y arriver, il nous a fallu rouler pas mal de kilomètres sur des routes dont les abords étaient de plus en plus enneigés. Plus on monte vers le nord, plus il fait froid. Nous avons dû ressortir nos vêtements de ski et superposer les couches, même si nous étions au mois de mai.


Le grand nord n’est pas très peuplé, et les paysages étaient de plus en plus vides de végétation. Nous avons traversé des grandes étendues blanches, parfois à perte de vue, avec de plus en plus de troupeaux de rennes éparpillés dans cette toundra blanche.





Lakselv
Nous avons fait escale dans la ville de Lakselv pour faire un gros ravitaillement et un plein d’essence avant de monter dans le grand nord. Cette ville n’a d’autre intéret que de proposer tous les services nécessaires avant de s’aventurer dans le grand nord.
Honningsvag
Notre deuxième escale sur la route du grand nord a été Honningsvag, une petite ville animée compte tenu de sa localisation, avec quelques restaurants et bars. C’est un port de pêche du grand nord, plutôt joli et vivant de sa culture de la pêche.🐟🐟




Nordkapp : LE Cap Nord !
La fin de la route amenant au cap nord n’est pas toujours ouverte, car elle reste enneigée une grande partie de l’année. A notre passage (au mois de mai) une barrière fermait la route. Il fallait attendre le chasse neige pour pouvoir monter les 20 derniers kilomètres en convoi derrière lui.❄️❄️
Le chasse neige qui devait nous escorter nous a dit d’y aller seuls, que « c’était bon ». Nous avons donc commencé à avancer sur cette route très confiants, certains que s’il nous disait cela c’est que la route était bien déneigée.
Ahahaha ! Nous n’avons visiblement pas le même regard sur ce qu’est une route accessible sans problème qu’un conducteur de chasse neige norvégien !☃️



La route vallonnée a très vite été couverte de neige, et plus on avançait, moins on voyait la route, le vent soufflant fort et provoquant des nuages de neige qui cachaient la visibilité. Heureusement que David est devenu un véritable pilote de van depuis toute cette aventure ! Gardant son calme, il a avancé sur cette route verglacée et enneigée vaillant et sans peur, formant avec Max, notre van, une équipe de choc, tel un chevalier et sa monture qui se font confiance et avancent coute que coute face au danger.
Nos pneus 4 saisons ont suffit à tenir le cap, et nous n’avons pas eu à mettre les chaines.
En arrivant au cap nord, nous avons quand même pu constater que la majorité des véhicules qui avaient fait le trajet étaient équipés de pneus hiver (les pneus hiver norvégiens n’étant pas les même que chez nous car étant soumis à des températures beaucoup plus basses), souvent cloutés.
Il est intéressant de savoir que le cap nord est plus proche du pôle nord que d’Oslo.
C’est un endroit assez magique de part sa position géographique sur la planète, mais également de part ses paysages, avec ses falaises de 307 m surplombant l’océan arctique, et de l’autre côté des étendues blanches et gelées dignes de paysages du pôle nord.





Malgré la beauté des paysages, nous n’y sommes pas restés pour la nuit car le vent soufflait vraiment très fort, et les températures étaient très froides. Nous avons donc repris la route en sens inverse, avec les 20 km de route enneigée à refaire dans l’autre sens. Mais là encore David a maitrisé avec talent la conduite de Max dans les descentes et dans les côtes enneigées (malgré quelques appréhensions quand même concernant la capacité de Max à réussir les montées). Bravo, Quel pilote ! Et quel super fourgon !

Nous sommes allés nous poser pour la nuit quelques kilomètres plus au sud pour limiter le vent, bien fatigués par cette journée froide et pleine d’émotions. Malgré cela, le sommeil a été difficile à trouver, la nuit blanche, au sens littéral du terme, n’aidant pas à trouver le sommeil. Il n’y a en effet plus aucun temps d’obscurité, il fait clair toute la nuit, même si le soleil passe juste en dessous de la ligne d’horizon pendant à peine 3 heures. Les aurores boréales ne sont donc pas visibles, la nuit est trop claire…☀️


Nous avons profité du robinet des toilettes chauffés (et oui chauffés, ils n’ont pas le choix pour que les tuyauteries ne gèlent pas!😜) pour faire le plein d’eau, à la méthode poche à eau, comme depuis un petit moment déjà sur notre route. En effet dans les pays du nord tous les robinets extérieurs sont fermés et mis hors gel pour le long hiver. Impossible donc de remplir le réservoir du van en branchant un tuyau quelque part, nous devons nous débrouiller en faisant des allers retours avec notre poche à eau quand nous trouvons un point d’eau !


île de Svalbarg
Nous ne sommes pas allés sur cette île encore plus au nord que le cap nord, au large de celui-ci dans la mer de Barents. Mais nous vous en parlons à cause d’une anecdote qui nous a interpellés :
Sur cette île il est illégal de mourir !
Si vous êtes malade ou vieillissant vous avez donc obligation de vous faire rapatrier sur le continent. Cette loi surprenante s’explique par le fait que la Norvège, qui administre l’archipel, ne veut pas gérer les cadavres enterrés dans le permafrost. Ce sol gelé en permanence empêche les corps de se décomposer et peut préserver des virus pendant des dizaines de milliers d’années.
Bon l’avantage, si vous respectez pas cette loi, c’est que vous ne recevrez jamais d’amende !😜
Vers le sud, en longeant la côte
Hammerfest
Nous avons atteint cette petite ville portuaire après avoir traversé le plateau de Finnmarksvidda, le plus vaste plateau de Norvège, couvrant 22 000 km2, et représentant un cinquième des zones sauvages de Norvège. Il s’y trouve un itinéraire prisé à faire en ski de 85 km, le « Finnmark PA langs », qui se fait en plusieurs jours, un peu comme une randonnée itinérante.
Certains se préparent ici à des expéditions dans le pôle nord. Il s’y déroule également une fois par an la plus longue course de traineau à chiens d’Europe.
Nous nous sommes contentés d’admirer les paysages que nous traversions, véritable désert blanc à perte de vue.




« Hammerfest » vient de « hammer », « montage escarpée » et » fest » qui veut dire » amarrage ». La ville d’Hammerfest est un port important, même si la ville reste à taille humaine. C’est dans cette ville que se trouve la 1ere borne de l’arc géodésique de Sturve, qui permet de calculer avec précision la taille et la forme de la Terre.
Histoire : pendant la seconde guerre mondiale, les allemands avaient pris possession de la ville qui représentait un lieu stratégique pour contrôler le grand nord, et le commerce qui y passait, notamment vers la Russie. A leur départ, ils appliquèrent la politique des terres brulées : ils obligèrent les habitants à évacuer la ville et détruisirent tout. C’était le plein hiver, et pas l’hiver comme en France où il fait un peu froid. Non, celui glacial du grand nord avec ses températures extrêmes, auxquelles on ne peut survivre sans un équipement spécial et un habitat adapté. Cette évacuation forcée dans le terrible froid du nord fut donc désastreuse pour la population. Il existe un musée qui retrace l’occupation allemande et ce tragique épisode.
Nous apprenons encore beaucoup ici aussi sur la guerre, l’occupation et la politique nazie, et réalisons l’ampleur de l’occupation allemande pendant cette seconde guerre mondiale. En France on nous raconte les événements historique avec un regard centré sur la France (et c’est normal !😉). Dans les pays que nous traversons nous découvrons le récit de l’Histoire avec un autre point de vue, un autre regard.
Nous avons choisi comme spot pour la nuit le point de vue de Salen, situé en haut de la ville, avec une vue panoramique sur la ville et le fjord. Nous espérions avec une vue si dégagée apercevoir des aurores boréales pendant « la nuit », mais là encore, le ciel est resté bien trop clair pour pouvoir les apercevoir, malgré une probabilité forte.
Il existe une application (aurora) donnant en temps réel la probabilité de voir une aurore boréale en fonction du lieu où on se trouve. Comme les applications météo, elle est assez précise, et se réactualise en permanence.



Alta
Nous n’avons fait que passer dans cette petite ville, arrivés trop tard pour y visiter le musée où se trouve un sentier permettant de découvrir des gravures préhistoriques dans les roches bordant la mer.
Le musée, comme presque tous les bâtiments publics en Norvège, ferme à 15 h !!
Nous avons donc poursuivi la route un peu plus loin en longeant le fjord, et en admirant ses paysages splendides, jusqu’à notre spot pour la nuit : au bord d’un fjord, face à un lac gelé.


Le navire Tirpiz
C’est à cet endroit que le navire Tirpitz, très gros et puissant navire de guerre allemand avait été endommagé pendant la seconde guerre mondiale. C’était le plus grand des cuirassés, un navire aux dimensions hors normes, qui terrorisait les alliés car il régnait sur les mers du nord.
Les alliés tentèrent de le détruire et le bombardèrent à plusieurs reprises. Dans cette zone où il était amarré, il ne fut qu’endommagé et fut réparé sur place. On peut encore voir des « cratères » issus de bombes qui sont tombées à côté, sur Terre (bon, ça ne ressemble plus qu’à des gros trous aujourd’hui, pas spécialement mis en avant).

Autre arrêt, autre spot magnifique
Un autre arrêt nature au hasard de notre route nous a offert des vues incroyables de jour comme de nuit (toujours cette absence de nuit…😉🙃), face à un fjord majestueux, et avec en prime des abris en construction traditionnel, en bois et isolé par de la terre et de l’herbe.








Tromso
Tromso est une ville importante dans le nord de la Finlande. C’est une ville étudiante, notamment du fait qu’elle est devenue le centre de la recherche arctique.
Elle possède un port de pêche actif, et est proche des montagnes et des pistes de ski. Elle attire les touristes pour les aventures arctiques et sportives possibles dans les environs, et pour les aurores boréales visibles pendant la période d’hiver, et le soleil de minuit visible pendant la période d’été.
De novembre à janvier les baleines à bosse, les orques et les petits rorquals se rendent dans les fjords environnants où ils se régalent de harengs migrateurs. Tromso est donc également un point de départ pour des excursions en mer pour observer les baleines.🐳🐋
A notre passage en mai, nous n’avons pas vu d’aurores boréales puisqu’il n’y avait déjà plus de nuit.
A minuit il fait jour comme à 8 heures du matin ! Sans noir, ou même obscurité impossible de les voir.
☀️☀️☀️☀️☀️☀️☀️☀️☀️☀️☀️☀️☀️☀️☀️☀️☀️☀️☀️☀️☀️☀️☀️☀️ 24h de jour….notre corps a un peu de mal à intégrer l’information et refuse de dormir.🙃🙃😵💫😵💫🥱🥱
Nous n’avons pas vu non plus de baleine puisqu’elles suivent les harengs, et n’étaient donc plus dans les parages à cette date.😭
Nous sommes donc contenté d’explorer les environs, et de profiter du centre ville (Tromso est appelé « petit Paris » car on y trouve des magasins de mode, de la culture, et des bons restaurants. (Bon de là à la comparer à Paris….on pense que ceux qui ont dit ça ne sont jamais allés à Paris ! Rien à voir, ni en taille, ni en nombres et en choix de magasins et restaurants.)



Nous avons profité de la bibliothèque car nous avions différentes démarches à faire nécessitant une bonne connexion réseau. La bibliothèque est un lieu agréable, bien chauffé, calme, avec wifi gratuit et efficace, et proposant gratuitement des petites salles à privatiser pour effectuer son travail, ses visios ou réunions, y compris aux touristes de passage. Top !
Les cafés et restaurants sont assez chers comme dans toute la Norvège, mais pas plus non plus. Nous n’en avons pas testé, mais avons apprécié notre bière au soleil sur le port, en regardant les gens sortir du sauna flottant amarré dans le port et sautant dans l’eau de la mer . Nous avons aussi testé « le meilleur hotdog du monde », avec une saucisse de renne et des oignons et betterave…
Pas très convainquant, nous ne validons pas leur publicité !🤥



Nous avons aimé notre café accompagné d’un roulé à la cannelle (spécialité des pays du nord) dans le café « Riso mat og kaffebar » qui nous a bien réchauffé quand la grisaille était installée sur la ville.

Polar museum
Installé dans un entrepôt des années 1830 (anciennes douanes), ce musée retrace l’histoire des expéditions dans le grand nord, de la chasse aux expéditions scientifiques, révolutionnaires pour les premières.
En toute honnêteté, nous avons trouvé ce musée assez horrible.🤮
On a eu l’impression qu’ils y faisaient l’apologie de la chasse, avec des expositions d’objets et de photographies choquantes sur les pratiques barbares de chasse de rennes, phoques, bébés phoques, morses et ours polaires.
De nombreux animaux empaillés et peaux sont exposés comme des trophées, mais là encore de façon choquante. Par exemple, on voit la photographie (souvent en noir et blanc) de la scène de chasse, avec à côté les armes et crochets qui ont servis à tuer l’animal, et à côté la peau de celui-ci. Les scènes de chasse de bébé phoque sont particulièrement horribles.☠️
Les techniques de chasse, que ce soient pour les phoques ou pour les ours polaires sont barbares.😢😢
Bref, nous ne recommandons absolument pas ce musée avec des enfants. 😒


Environs de Tromso : l’île de Kvaloya
Nous avons fait un circuit sur une partie de cette île avec l’impression d’être vraiment dans des paysages éloignés de la civilisation. Les routes sinueuses longent les fjords et offrent des paysages magnifiques, à la fois vers la mer et vers la montagne. Vers le nord de l’île on ressent l’isolement de Kvaloya en arrivant dans des petits villages dont la route qui y mène est en cul de sac (village de Grotfjord par exemple avec sa jolie plage, Tromvik, Rekvik au bout du monde…).
Il existe plusieurs randonnées sur cette île, mais la neige étant encore présente elles n’étaient pas praticables.
Les paysages sont magnifiques partout. Nous avons pris des dizaines de photos, nous vous en partageons quelques unes mais la sélection est un vrai casse tête, on a tellement envie de tout vous montrer!!😂🤩🤩











Toujours en descendant le long de la côte : vers les îles Lofoten (cf. article suivant)
Nous avons quitté Tromso et pris la direction des îles Lofoten plus au sud. La route était longue entre ces 2 villes appartenant pourtant toutes les deux à la même région, la région « Nordland ». Il faut dire que cette région du grand nord du pays fait environ 500 km de long ! La Norvège est vraiment un grand pays, étalé sur plus de 2000 km du nord au sud.
Nous avons pris 2 jours pour rejoindre les îles Lofoten, en prenant le temps d’admirer les paysages splendides des fjords.
Mais nous vous parlerons des îles Lofoten dans un prochain article pour ne pas alourdir celui-ci, parce que ces îles sont encore un trésor de la nature !😁😊

Finlande 🤩🤩❤️❤️
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Coucou les amis
Heureux de voir que tout va bien 👍
N’oubliez surtout pas de goûter la crème glacée norvégienne 😋 on en mangeait presque tous les jours 😜 après les hot dogs bien sûr 😉😂
Biz
Bruno Christelle 😀
Hello. Effectivement on n’a pas pensé à goûter la crème glacée mais on va y remédier 😉
Bises 😁